“Now the deeds of the flesh are evident.
Vengeance is mine, I shall repay” says the Lord.

Apophtegma : La Parole Mémorable. L'Autorité Absolue. Owen est détenteur d'un don d'une potentielle puissance effroyable, lui octroyant un moyen de pression ultime sur n'importe quelle entité dotée d'une forme d'ouïe quelconque comprenant son langage, et donc, ses ordres. Toute entité, peu importe son origine, percevant le son de la voix d'O'Sullyvan, appréhendant la nature de l'impératif proféré à voix haute, est contraint de se plier aux commandements ayant pour unique contrainte de ne pas mettre son intégrité physique immédiate en danger, à savoir auto-mutilations, suicides, et autres joyeusetés. Owen peut cependant ordonner à deux individus de s'entretuer, et ce sans concession ou compromis. Son pouvoir est ceci dit prémice de violentes représailles, car lors de l'utilisation dudit don, O'Sullyvan subit provisoirement des dégâts plus ou moins importants au niveau de l'oreille interne, en fonction de la longueur et du degré de détails inséré dans l'ordre. Cela se traduit par une perte temporaire de l'ouïe, empêchant l'utilisation consécutive de son pouvoir, puisqu'il est particulièrement compliqué de s'exprimer de façon tangible une fois sourd provisoirement, ainsi que d'une brutale désorientation. Vertige, perte d'équilibre, etc. A ceci s'ajoute une limitation d'usage - à savoir 3 fois par jour - ainsi qu'une éventuelle surdité permanente en cas de fréquence trop importante.

“When people fear you, and I mean really fear you, it is the most intoxicating sensation a man can posses.”

Owen présente la forme qu'on attendrait de la part d'un homme de pouvoir. Le torse bombé, le port de tête haut, altier, un sourire soigneusement composé en toutes circonstances. Son faciès aux traits taillés à la serpe, durcis par la rigueur passée d'un quotidien spartiate, ne présente aucune élégance particulière. Expression narquoise et désabusée en permanence placardée comme une façade à toute épreuve, réhaussée d'une crinière châtain striée de gris - digne legs de sa génitrice -, l'alchimie ne saurait accomplir sa besogne, et contrairement à sa feu-soeur cadette, Owen n'a pas le loisir d'être qualifié comme charmant. Une tête qu'on attribuerait facilement à un individu ayant favorisé une ascension sociale au travers de ses méfaits. La seule caractéristique hors-norme du Roi - si ce n'est son presque mètre quatre-vingt dix de hauteur - sont ses iris. Trônant au sommet d'un cou de taureau ceint par un colifichet - curieuse plaque de fer, prix de son service dans l'Armée -, ses orbes ocrées renforcent la prestance impérieuse du colosse. Orageuses ambres lupines jumellées, constamment animées d'une étincelle féroce, ne demandant qu'un appel d'air pour exploser et s'embraser, conférant une présence de conquérant à Owen. Aspirant à la royauté sans esquisser le moindre geste.

Un éclat rieur au fond de son regard trahissant une lucidité tranchante, un cigare au coin des lèvres, O'Sullyvan serait probablement apparu comme un individu lambda s'il n'était pas en permanence vêtu d'un veston carmin couvrant une chemise opaline, impeccable en toutes circonstances, ainsi que d'une cravate méticuleusement laissée lâche autour de son col redressé. Réhaussé d'un trench coat noir, c'était comme si le Roi avait conscience de l'intégralité des clichés concernant sa profession, et avait décidé de les respecter à la lettre. Ponctué par un Borsalino caractéristique, le Don déambule encadré par ses deux associés les plus fidèles, Jensen et Carrington, portant exactement le même accoutrement. Qui, malgré l'attitude avenante et chaleureusement du Roi, écartent sévèrement tout individu n'ayant pas la décence d'être invité par le regard lupin du Don.

Ce dernier exhale de la dérangeante prestance impérieuse inhérente à son statut, héritier d'une tradition centenaire. Les commissures de ses lèvres arquées, ses lippes retroussées sur une dentition d'albâtre, une barbe soigneusement taillée. Une voix profonde - solennelle. Une auto-dérision parfaitement dosée, réduisant le ridicule évident de ceux qui se croient adoptés par la souveraineté. Enveloppé de cette attrayante alchimie issue d'une admiration craintive et d'une envie maladive ; l'angoisse et l'intrigue se mêlant dans les entrailles comme une bouffée de panique enivrante, fiévreuse, c'est un atypique charisme qui attire les regards sur la personnification de l'Autorité, dont le rictus, tantôt babines retroussée comme une bête féroce, tantôt attirant sourire en coin, engendre confusion et malaise.

Cependant, jauger le Don comme une figure de proue purement décorative serait une grossière erreur. Owen en soi est une menace à considérer en toutes circonstances. Sous le massif trench coat apparaît une peau bronzée - marquée par le soleil. Les rayons de l'astre solaire qui frappent, inlassablement, implacables, une peau qui fut d'albâtre. Se réverbèrent sur l'acier, aveuglants. Un corps forgé par la violence, incapable de se résoudre proprement à la sérénité, et au calme. Paix, tranquilité - voilà les actes de chiens domestiques ayant réprouvé leurs crocs. Les uniques irrégularités présentes sur l'épiderme du colosse sont les stries blanchâtres se démultipliant à hauteur de son épaule gauche, témoins d'une opération chirurgicale. Constellant ses faisceaux musculaires du membre amputé. Détourant son oeil gauche, incapable de perforer son globe oculaire. Sa lèvre supérieure, fendue - dans le tracer du tranchant l'ayant pratiquement rendu borgne. Présentant une constitution athlétique, il repose sur deux pieds fermes, manifestement habitués à l'effort, accompagnés de cuisses profilées et de mollets proéminents qui sont preuves d'une capacité à se mouvoir aisément et prestement. Un fessier ferme, surplombé d'une échine dont les muscles dorsaux sont vigoureux, et les trapèzes robustes. La face est à l'image de l'arrière, dévoilant une ceinture abdominale dessinée et sèche, elle-même dominée par un solide plastron pectoral et souligné. Quand bien même tous ces efforts musculaires pâlissent face aux prouesses de technologie ayant remplacé son bras gauché, amputé lors d'une tragédie.

Réduisant à néant toutes les espérances d'un quotidien banal, le membre fantôme s'est vu remplacé par un implant mécanisé immatriculé "TYR-337P" présentant des propriétés inespérées. Sans vanter une durabilité à toute épreuve, le prolongement du puissant bras argenté, résultat d'un alliage de titane et de matériaux composites octroyant une teinte atypique à la prothèse en plus d'une légèreté que la chair et les os ne peuvent qu'envier, Owen a récupéré sa main principale. Transformant les muscles en moteurs, les ligaments en câblages, le système nerveux en réseau électrique, le Don s'est vu doté d'un atout incroyable. Octroyant des réflexes fulgurants à un individu rompu au combat de part sa formation et ses exactions, au-delà de sens guerriers accrus, Owen présente ainsi une aisance physique tout bonnement absurde. Ce qui octroie au Tyran l'opportunité de faire preuve d'une puissance étourdissante et improbable, d'une force abrutissante semblable à un blizzard déchaîné face auquel un homme n'est rien. Vif, chacun de ses mouvements imprégnés d'une dextérité martiale asphyxiante, une gestuelle exsudant d'une froide expertise. Jadis formidable combattant, la Roi reste également capable de faire preuve d'une ingéniosité et d'une adaptabilité surprenante, ayant expérimenté la survie en milieu hostile avec le sentiment d'urgence lui pressant la cage thoracique, traduction d'une détermination et d'un instinct de survie effrayant.

Il semble cependant enclin à dissimuler sa nature de cyborg, vêtu en permanence de gants ainsi que de l'épais accoutrement le caractérisant. Ce qu'il ne prend en revanche aucunement le temps de camoufler est bien le massif revolver pendant à sa ceinture, retenu par un holster. Le chef-d'oeuvre finement ouvragé surnommé "Lawbringer" partage l'éclat lunaire du prototype 337P, fièrement exposé, son canon constellé de veines céruléennes comme autant de craquelures peinant à contenir le pouvoir y résidant. Aimanté et magnétisé par son binôme métallique, seul O'Sullyvan est en mesure de s'en servir, disposant alors d'une assistance de visée en plus d'être débarrassé de tous les tracas d'une arme standard. Chambré en calibre S&W .500 Magnum, le Lawbringer est capable de délivrer des dégâts mortels à une distance insoupçonnée en plus d'être exempt de recul ou de l'usuel besoin de recharge. En contrepartie, l'arme dispose d'un système de refroidissement traduit par les veines bleuâtres parcourant son épiderme en titane, se propageant jusqu'à la crosse, ainsi qu'en cas de besoin, dans son bras motorisé.

“Ain't no grave can hold my body down.”

Ne porte jamais atteinte à l'intégrité physique d'un enfant - si revêche, c'est à ses géniteurs que tu devras en rendre compte.
Ne laisse jamais l'idée du profit te guider sur la voie du mal.
Ne mens pas, ne triche pas, ne vole pas. Laisse cela aux gens médiocres.
Ne laisse jamais croire que si tu es paisible, c'est parce que tu as oublié comment être violent.
Ne cesse jamais de guerroyer pour tes valeurs, jusqu'à ce que l'enfer gèle. Alors, seulement, bats-toi sur la glace.

Tels furent les préceptes inculqués par le géniteur du Roi en devenir, héritier du titre de Don. Colosse psycho-rigide en apparence, Owen obéit à des règles strictes, propre à l'existence spartiate menée par un individu ayant accompli une ascension sociale au travers de la criminalité. Sans grande surprise, il n'aspire aucunement à l'élévation spirituelle - sa psyché endoctrinée par les sciences de la guerre de l'ombre incarnant le squelette de son mode de pensée. Loin du matérialisme pour autant, O'Sullyvan accorde en certaines valeurs une importance quasiment démesurée. La loyauté, l'équité, la force de caractère. Pragmatique, il serait bien incapable d'appréhender le fait que de telles notions soient loin d'être binaires, et si promptes à la controverse. Puisse Ying garder le pédagogue se décidant à faire la morale au Don, borné et rendu sourd aux propos de ses interlocuteurs. Il est cette entité enjôleuse et joueuse, se délectant de la détresse d'opposants mis en déroute par son regard ocré.

Owen a été forgé aussi bien mentalement que physiquement par son expérience. Ne se soumettant que rarement au point de vue de ses homologues, son sens logique et pratique prime sur les avis apportés et à considérer dans une potentielle équation. Il est de ceux qui campent sur leur position - et n'en démordent jamais, à moins d'être mis face à l'échec par raisonnement infaillible. Qui plus est, il n'existe aucun grand criminel pouvant se targuer d'avoir un intellect défaillant - de tels individus connaissent rarement une fin avouable. Le "Roi de Trèfle" se plaît à s'estimer à sa juste valeur, n'étant plus le jeunot pataud et maladroit qu'il fut, en se présentant pour la première fois sous le porche de la Mafia. On le qualifie cependant comme doté d'une moralité ambivalente, accentuant la dangerosité erratique caractérisant un ombrageux souverain. Son absence d'empathie, additionnée à la sociopathie latente incarnant son plus grand trait de personnalité, il semble en toutes circonstances hermétiques, transformant la lecture de son comportement ou attitude en tâche herculéenne.  Habitué à un certain statut social au travers de son ascendance paternelle, Owen ne tolère pas l'irrespect gratuit, ce qui nous permet d'aborder une nouvelle facette de sa personnalité.

O'Sullyvan est incroyablement rancunier. Toutes les dettes se payent - surtout lorsque la prime est de sang. Il n'existe pas pire individu à se mettre à dos, malgré son attitude franche, honnête, parfois brutale. Sa détermination brûlante, sa soif perpétuelle de rétribution, de représailles, le transforme en féroce adversaire. Un poursuivant n'ayant aucun repos, adoptant une marche forcée, les yeux rivés sur sa victime. Peu importe les tentatives pour son détracteur d'échapper à l'emprise du Don, ce dernier parviendra toujours à s'emparer de sa victime comme d'un exutoire à une fureur millénaire. Owen a cependant la décence de ne pas être un tortionnaire. Et les torts de chacun leur appartiennent, ainsi, sauf exception, il ne prendra pas la peine de génocider les familles entières des concernés, régi par ses principes. Son influence, terrifiante, s'abat tôt ou tard à la manière d'un couperet sur ses opposants. Comme une malédiction. Une perpétuelle menace rôdant au-dessus de la tête de ses adversaires. Il est ce Patriarche inexorable, auquel nul n'échappe.

Se faisant l'écho parfait des enseignements de son propre paternel, Owen n'est malgré son code de conduite induit pas un individu avec lequel traiter à la légère. Ses iris orageux se font une parfaite fenêtre vers l'âme du Tyran. Parfois imprévisible, presque vindicatif, dans ses exactions. Ses Sujets sont considérés comme de lugubres figures, même au sein des autres groupes. Réprouvant tout droit de rétraction sur leur engagement, ils incarnent une meute d'esclaves psychologiques affranchis, de criminels condamnés, de minorités écrasées, ou encore de veufs et veuves fuyant l'oppression sociale. Débarrassés de leur existence antérieure au travers de la vertu purificatrice de la servitude. Et même parmi ces chiens enragés, le Roi se démarque de par la sombre splendeur d'une prestance impérieuse. Ses fidèles n'ont pas les prétentions absurdes d'incarner une grande et vaste famille malgré les valeurs initiales de la Mafia. Il s'agit davantage d'un refuge pour les marginaux désireux de profiter des bénéfices du statut de criminel, loin des foyers et des tracas les accompagnant. De s'épanouir dans un groupuscule, édifiant quelque chose de plus grand que leur propre bien-être.

O'Sullyvan n'a pas le prétention de se considérer comme un formidable leader, malgré ses indéniables compétences dans le domaine de l'ombre. Surnommé "Tyran", les Mafieux sous la tutelle directe du conquérant n'ont pourtant jamais réellement eu à se plaindre. Méticuleux, ayant appris de son géniteur, Owen est une présence inspirante, hors des situations de crise. A la façon d'un paternel stéréotypé : bienveillant, mais ferme. Incapable de s'armer de la condescendance abhorrée des gradés habituels, il n'était pas rare de le croiser à des heures avancées, assis autour d'un verre de whisky avec des mafiosos, s'attardant sur un jeu de carte, les traits tendus par la concentration malgré l'air rieur furetant sur ses lèvres. Au même titre qu'Owen fait preuve d'une certaine indulgence à l'égard des mafieux, son attitude vis-à-vis des hommes sous ses ordres directs est sans doute ce qu'on pourrait le plus rattacher à une sympathie latente, au couvert de son attitude dure, farouche. Nul doute qu'il aurait mené une croisade seul pour réclamer vengeance au nom de ses subalternes. Il est cependant à noter qu'il désapprouve grandement la prostitution, et mène un vain combat quotidien pour l'abolition d'une telle profession - tout du moins au sein de sa précieuse Mafia.

Inspirant était le terme employé pour le décrire, hors du champ de guerre. Mais, une fois engagé dans une confrontation, son Lawbringer libéré des entraves magnétiques, Owen change pour devenir une icône de suprématie asphyxiante. Figure galvanisante, dans une transe frénétique, le Despote se mue en formidable machine de destruction, nullifiant véritablement l'opposition. Son endurance effrayante, la précision chirurgicale de ses tirs... Ses prouesses martiales agissent comme autant d'afflictions morales sur ses opposants. Ses remarques cinglantes poussent chaque mafieux à se transcender, transformant au fur et à mesure chaque membre de cette force armée en terrifiants assaillants dirigés par un instinct de meute singulier. Une valse martiale oblitératrice, teintée de la férocité humaine - terrifiant facteur soulevant des peuples. Des douilles qui tintent de concert avec les corps qui s'effondrent, se souciant uniquement d'obtenir un triomphe écrasant - la victoire totale n'est-elle pas le dû de ceux baignant dans l'exultation d'une extermination absolue, résultat d'une sévère rétribution ?

Il n'existe pas de grand criminel idiot, et Owen se démarque par un intellect tranchant résultant d'une éducation approfondie. Mécanique froide, cartésien, son mode de pensée certes rigide fut jusqu'à présent particulièrement approprié pour les domaines dans lesquels le Tyran évoluait. Le considérer comme un individu de culture serait se méprendre - il n'est pas de ce genre d'intelligence. Très peu d'intérêt pour la grande littérature, vous l'aurez compris. Sans doute qu'entretenir une discussion avec un être aussi binaire n'aurait pas grand intérêt, mais il entretient un esprit vif, tranchant, et un charisme singulier ralliant ses collègues. Logique - de façon presque morbide. Il aborde les situations avec un pragmatisme dérangeant, dès lors qu'on ne le prend pas à parti, et que son code n'est pas en jeu. Individualiste au possible, hors de ses domaines de prédilection, à savoir la Mafia, il n'incarne pas réellement l'image propre et immaculée du grand paladin à laquelle on aurait pu s'attendre. Presque égocentrique, si ce n'était pour ses qualités exacerbées, O'Sullyvan est également reconnu comme étant un joueur dévergondé, un alcoolique, et un paternel particulièrement médiocre.

Enfin, il est possible de le considérer comme inquisiteur, vu de l'extérieur. Aura dominante, impérieuse, intimidante - quel besoin éprouverait-il de discuter avec des cafards sans couleur, sans saveur ? Certains s'abandonneraient sûrement à des dilemmes sempiternels sur une loi de causalité, ou s'attardant sur des notions abstraites de bien et de mal. Aux yeux ocrés d'Owen, il s'agit simplement d'une sélection naturelle, où seuls les sujets les plus aptes suscitent son intérêt. Son pouvoir est absolu - son autorité, totale. Pourquoi perdrait-il son temps parfois précieux avec la plèbe, incapable de percevoir la royauté dont il exhale en tout temps sans esquisser le moindre geste ? Ses rares élans empathiques sont erratiques, et généralement, il s'agit simplement de respecter ses principes, la bienveillance envers les civils ayant ses heures, le dédain, d'autres.

Owen parcourt Ariesten comme un orage qui couve ; ombrageux Empereur d'Obsidienne.

“I'm not the one that dies, kid.
I'm the one that does the killing.”

464 ─ Naissance au sein d'une famille aisée, les O'Sullyvan.
469 ─ Rencontre avec une bébé fripé, Eelia, soeur cadette d'Owen.
474 ─ Découverte de son don. Utilisation sur le Patriarche O'Sullyvan, accessoiremment Don de la Mafia, qui marquera le début d'une relation conflictuelle avec son géniteur.
478 ─ Déscolarisation publique de l'aîné, alors interné dans une structure militaire afin de procéder à un redressement comportemental.
484 ─ Introduction au sein de la Mafia, en tant que mafioso, de concert avec son statut de militaire du rang.
488 ─ Cérémonie de "promotion"/whateverthefuck, dont Owen sortira major.
488 - 498 ─ Activités diverses réalisées au profit de la Mafia. Owen quittera l'armée au terme de son contrat, s'installant avec une famille nouvellement formée, donnant naissance à deux enfants. Un garçon, et une fille, respectivement nommés Jason & Amelia. Le divorce ne tardera pas en raison de son alcoolisme naissant, ses tendances de joueur, et son irresponsabilité erratique.
498 ─ Le Don de la Mafia sera tué par un Dérivé devenu dément, faisant hériter Owen du titre.
499 ─ Owen perdra son bras gauche lors d'un affrontement avec ledit Dérivé, qui sera sommairement exécuté.
499 - 502 ─ Rééducation du Don de la Mafia. Obtention du prototype "TYR-337P".
502 ─ Retour d'Owen "King" O'Sullyvan dans le domaine de la vie active.