Âge: 33 ans
Métiers : Acteur
Orientation sexuelle : Hétérosexuel officiellement, bisexuel officieusement~
Groupe : Cyborg (à don)
3 qualités: Persévérant - Attentif - Captivant
3 défauts :  Libertin - Possessif - Orgueilleux
Avatar : Caesar Anthonio Zeppeli - Jojo's Bizarre Adventure

Pseudo(s) : Sergy-Thuring
Âge : 23 ans
Comment as-tu connu le forum ? : Avec mes 5 autres comptes  
Un avis ? : Arrêtez de m'inspirer >:
Mot de passe :

« Quand on veut, on peut. » C’est ton mantra, la maxime de ta vie, celle qui t’a permis de soulever des montagnes, d’affronter les épreuves de la vie alors que tu n’étais encore qu’un enfant. Ces épreuves t’ont forgé, créant l’homme que tu es aujourd’hui. Un homme bien qui croit en l’avenir, qui peut tout faire tant qu’il a la foi. Il y aura toujours une solution. Tout est possible. Tu es donc extrêmement persévérant et entreprenant pour réaliser les objectifs que tu te donnes. Cependant, cela te rend assez obtus sur certains sujets et tu as du mal à admettre tes torts, ou à changer d’avis sur quelqu’un et il faudra te travailler au corps avec beaucoup d’arguments pour que tu envisages de changer ta façon de voir les choses. Après, tu restes quelqu’un d’assez ouvert à la conversation et tu « essaies » de respecter les choix des autres, même si ça a quelques ratés des fois. On ne se refait pas, hein ?

« Le petit ami idéal ! » Tu as déjà été élu comme l’un des hommes les plus séduisants de l’île par des magazines pour midinettes en chaleur et en manque d’affection. Pourtant, la majorité de tes partenaires seront d’accord pour dire que tu es parfait pour une soirée de folie ou être un ami, pas plus. Pourquoi ? Tu as pourtant tout pour plaire ! Tu es un grand blond, aux yeux émeraudes envoutants et au sourire ravageur. Tu es quelqu’un de bien, présent en cas de soucis, avenant, attentif, bienveillant, charismatique et jovial d’après tes amis ! C’est peut-être ça le problème au fond, tu es un parfait ami, mais dès que tu tombes amoureux de ta partenaire c’est le début des ennuis. Es-tu donc si différent quand tu es en couple ? Trop présent ? Trop étouffant ? Non ? Ce n’est pas ta faute si tu es jaloux. Si tu veux tout de cette personne qui a su ravir ton cœur. Trop possessif, tu les fais fuir. Alors, tu ne fais que passer de femme en femme, véritable libertin, adepte du plaisir sans lendemain. Adieu amour volcanique, adieu relation passionnelle, désormais il ne reste que les batailles dans les draps. Bon débarras, elles ne sont plus les cibles de tes sentiments.

Ta popularité t’a rendu assez orgueilleux, mais qui ne le serait pas un minimum à ta place ? C’est normal que tu possèdes une grande confiance en tes capacités ! Puis, ça ne sert à rien de les cacher ! Heureusement que tu possèdes aussi un sens de l’autodérision, sinon tu pourrais vite devenir insupportable. Puis, tu as bien confiance qu’il n’y a pas que « toi, toi et encore toi ». Après tout, tu fréquentes pas mal de personnes formidables… bien qu’à tes yeux, il existe pas mal de personnes bonnes à recevoir une bonne claque dans ton milieu professionnel. Tu peux aussi te montrer un peu langue de vipère avec les personnes ayant attiré tes foudres, mais aussi, avec la personne que tu aimes si elle ne te rend pas ses sentiments. Après tout qui aime bien, châtie bien ! Même s’il faut l’avouer, tu ressembles plus à un enfant qui se montre « méchant » avec son amoureuse pour tenter d’attirer vainement son attention, après tout mieux vaut la haine à l’indifférence ! T’es peut-être un peu tordu, mais bon, l’amour rend stupide c’est bien connu. Face à lui, les gens peuvent dire adieu à ta maturité. Cependant, seul toi, peut critiquer la personne qui a la main mise sur ton cœur, et gare à la personne qui osera le faire aussi. Cela fait d’ailleurs bien rire tes amis les plus proches.

Cyborg: Ta colonne vertébrale est entièrement robotique et quasiment invisible à l’œil nu, sauf pour deux clous dissimulés derrières tes jolies boucles blondes.


Projection Astrale : Ton « âme » quitte ton corps, l’abandonnant comme un déchet derrière lui, le laissant vulnérable à toutes personnes mal attentionnées ou à tout danger plus naturel. Une fois hors de ton corps, tu es incapable de sentir s’il est blessé, déplacé ailleurs … Quant à ton âme, elle se déplace librement, invisible aux yeux humains et à la technologie, traversant les murs sans soucis, écoutant, observant le monde sans que personne ne le sache. Tu es bien incapable de faire du mal sous cette forme, à vrai dire tu ne peux interagir avec ton environnement. Ton âme se contente d’errer en grappillant des informations. Tu es aussi bien incapable de t’éloigner de ton corps, si tu dépasses les 100m ton corps commence à dépérir et au bout d’une heure, tu es automatiquement rappelé pour reprendre ta juste place.

Chaque jour, vous regardiez votre feuilleton favoris ensembles, vous admiriez ce héros qui devenait toujours plus puissant sous vos yeux ébahis et admiratifs, alors que ton ami et toi dévoriez des tas de friandises en poussant des grandes exclamations impressionnées. Puis, alors que le générique se lançait, vous vous leviez pour rejouer l’épisode ensembles. Cette fois ci, tu faisais le grand méchant et le petit brun aux yeux d’un bleu éclatant jouait votre idole. « Piou ! Piou ! »  Hurla l’autre petit garçon en faisant semblant de tirer sur toi en roulant, et tu t’effondrais donc une main sur le cœur dans un grand cri rageur, répétant les dernières paroles du méchant comme dans l’épisode du jour.  


Tu courrais, tu poursuivais aussi vite que possible ton ballon qui s’était échappé, tu ne pris pas garde en traversant la route. Tu entendis à peine le crissement des pneus sur le bitume, le hurlement de terreur de ta mère et les cris des passants devant le terrible spectacle qui se déroulait devant eux. Tu sentis à peine ton corps s’envoler sous le choc de ta rencontre avec le véhicule qui avançait à pleine vitesse. Ton petit corps se brisa et tu ne sentis rien. Pour la première fois tu avais utilisé ton pouvoir. Ton âme avait quitté ton corps, se projetant hors de ton enveloppe corporelle pour te protéger de la douleur. Et déjà au loin tu pouvais discerner les sirènes stridentes des ambulances.
Tu restas plusieurs semaines dans le coma, ton âme avait fini par revenir se réfugier dans ton corps, ainsi tu fis face à la terrible nouvelle seulement une fois éveillée. Tu avais « perdu » tes jambes. Oh, elles étaient toujours là, mais jamais plus tu ne marcherais. Jamais plus tu ne courrais. Triste destin, tu sentis à peine les larmes coulées sur ton visage poupin. Tu ne vis pas non plus les larmes de tes parents et le regard dépité du médecin.


Tu avais grandi, voilà plusieurs années que tu déplaçais en fauteuil roulant, si tes jambes étaient devenues des brindilles incapables de te porter, tes bras s’étaient bien musclés pour te transporter là où tu le désirais. Tu avais repris une vie à peu près normale. Tu avais perdu de vue tes amis de l’époque, mais tu en avais des nouveaux ! Puis, tes parents étaient géniaux ! Et tu adorais toujours autant le héros de ton enfance. Et tu admirais encore plus l’acteur qui le jouait ! Plus que tout, plus que le dernier jouet à la mode, plus que retrouver l’usage de tes jambes, tu souhaitais faire rêver les autres à ton tour ! Alors, quand un médecin te proposa d’être le sujet test avec d’autres pour une colonne vertébrale robotique, tu acceptas tout de suite ! Si cela fonctionnait, tu pourrais marcher de nouveau et cela te rapprocherait de ton objectif, devenir un acteur qui saurait capable de faire sourire tout le monde !


Le test avait fonctionné, tu avais souffert, tu avais pleuré, mais tu étais de nouveau débout. Tu n’avais jamais perdu espoir malgré les doutes, les chutes, les diverses opérations et désormais tu étais là. Tu étais un jeune adulte, grand, sportif et surtout tu avais gardé ta joie de vivre. Et plus que jamais tu en profiterais. Tu avais été accepté dans des cours d’art dramatique. Tu avais su tirer ton épingle du jeu. Tu étais doué et motivé. Demain, tu passerais ta première audition ! Il ne restait plus qu’à capter l’attention et ça tu savais le faire rien qu’en souriant.


Tu avais réussi. Tu étais un acteur célèbre, qui avait déjà eu des multiples rôles. Tu vivais un rêve. Tu vivais ton rêve. Enfin presque. Il y avait un petit indésirable dans ton petit monde merveilleux. Vous vous souvenez de ce petit garçon brun de ton enfance ? Celui avait qui tu partageais un véritable amour pour une vieille série et l’acteur qui jouait le héros ? Et bien, lui aussi avait décidé de devenir acteur. Et il se mettait souvent sur ton chemin. Un peu trop souvent. En plus, il était profondément agaçant. Comment avais-tu pu être ami avec lui ? Ah… Tu le détestais et tu ne comprenais pas comment il pouvait être ici. Tu étais bien meilleur que lui, tu en étais certain. Et voilà que tu devais partager la vedette avec lui. Ah… quel merdier.