Journal du Professeur Nivelheim, Juillet An 495.

Une famille est venu me voir aujourd'hui. De riche noble à leur tenue. Tout deux humains pur sang, leur fille unique dans les bras. Cette dernière, dans un triste état, venait de survivre à l'assaut brutal d'un dérivé, soi-disant. Pour des raisons qu'ils ont refusé de me donner, ils m'ont expliqué qu'ils ne pouvaient pas la confier aux hôpitaux officiels. Bien que je leur ai expliqué être professeur en robotique, ils ont refusé de m'écouter et n'ont eu de cesse de plaider leur cause. J'ai fini par accepté, avec les bourses qu'ils me proposaient... Qui aurait refusé ? D'autant que ma thèse ne me rapportait plus beaucoup...

J'ai récupéré l'enfant et avec l'aide d'un ami docteur, le genre peu bavard, j'ai pu aménager une sorte de clinique clandestine. On a réussi à maintenir ses constantes vitales au bon niveau, le reste du mois servira à la stabiliser.

Journal du Professeur Nivelheim, Septembre An 495.

J'ai enfin réussi, après un mois de travaux, à faire mes plans. J'ai du expliquer au parents que je n'avais d'autre choix que d'apporter des modifications bionique à leur enfant si je souhaitais la sauver. Ils ont acceptés tout, moyennant finance, tant que je sauvais leur enfant... Pas que je ne veux pas mais ça faisait un mois qu'elle était plongé dans le coma. Les blessures étaient, sévères et j'avais déjà du installé plusieurs composantes mécanique à la place d'organes internes foutus.
L'autre parti inquiétante est que son cerveau semble avoir été touché : je doute de pouvoir la ramener exactement comme avant...

Journal du Professeur Nivelheim, Décembre An 495.

Les modifications ont été plus radicales que prévu... Les parents ne me paient plus. J'ai été forcé de leur montrer l'avancement et ils ont hurlés que ce n'était plus leur fille : je ne les ai point revu depuis. J'ai alors décidé d'en faire mon propre projet, cette gamine n'avais plus rien de toute façon.

Journal du Professeur Nivelheim, Aout An 498.

Le projet est abouti. Je n'ai pu sauver la conscience de l'enfant mais le Projet Requiem est un succès. J'aurais tenu ma revanche sur la communauté scientifique mais d'autre projet plus performant avait déjà vue le jour. Le code Shadow ne me servait plus à rien se ce n'est de compagnie mais elle est bien silencieuse... Je communique plus avec Light pour dire.

J'ai pu trouver un contrat auprès du Don. Il a vue ses capacités et compte me l'acheter, me payant rubis sur l'ongle. Je ne sais pas ce qu'il compte en faire mais ce n'est plus mon problème...
Je dois juste la programmer pour qu'elle obéisse entièrement à la personne répondant au titre de parrain et uniquement à cette personne. Le loup partira sans doute avec, il est impossible de les séparer : elle tuerais quiconque essaie.

Lettre du Professeur Nivelheim, trouvé sur son corps en début de l'An 499 :

Il m'a piégé... Ses salopards ont jamais prévu de me payer... Ma chère petite... Mon projet Requiem... Puisse tu, un jour, me venger... la suite n'a jamais pu être lu

Cas Alpha : Lors d'une sortie en forêt, le projet accompagné du Professeur et deux gardes tombèrent sur des braconniers. Ces derniers, prit en flagrant délit, tentèrent de les réduire au silence mais furent repoussé avec succès par le projet. Alors qu'ils s’apprêtèrent à quitter les lieux, le Projet a fait preuve de son premier comportement déviant. Dans une cage gisait un bébé loup, d'une portée récente selon les observations, que le projet libéra.
Le Professeur lui ordonna d'abord de relâcher la bête dans la nature. L'ordre fut réfuter, le projet prétextant que la créature ne survivrai pas dans cet état. Le second ordre fut alors de mettre fin au jour du louveteau, ordre refusé avec violence par le projet qui fit alors une demande imprévu. Elle souhaitait s'occuper du bébé elle même, soin comme le reste. Son caprice fut accepté.

Le comportement fut consigné et la créature assigné à la salle du Projet Shadow, sous surveillance intensive. La créature fut nommé Alpha dans les dossiers mais son nom semble être Light, en référence à son pelage couleur aube.